Voici la deuxième partie de l’entretien téléphonique que j’ai eu le 12 mai 2020 avec Fabrice Paulus. Si vous n’avez pas eu l’occasion d’écouter la première partie de cet échange, je vous invite à cliquer ici.

Dans ce deuxième volet, Fabrice Paulus déplore la quasi-disparition des salons du livre ardennais, constate comme un désintéressement du public ardennais pour les auteurs de la région. Et pourtant …

Bonne écoute…

0’00’’
Introduction – but de la chronique Faire lire les Ardennes aux Ardennais
0’38’’
La sortie des polars ardennais de Fabrice Paulus
1’38’’
Séances de dédicaces – rencontrer et écouter son lectorat
2’58’’
Les salons du livre dans les Ardennes : grandeur et disparition ?
4’21’’
Le Salon du livre de Sault-lès-Rethels
5’11’
L’ancien Salon du livre de Revin
5’42’’
Les Ardennais liraient-ils moins ?
6’40’’
Du Salon du livre à la foire aux livres d’occasion à Charleville
7’15’’
Le Salon du livre de Warnécourt s’est arrêté
9’14’’
Les écrivains ne sont plus invités dans les bibliothèques
10’11’’
Les soirées de la Société des Écrivains Ardennais
11’14’’
Le cas Frédéric Tristan
12’54’’
Battre le record de Kafka
13’49’’
Les parutions de la Société des Écrivains Ardennais
16’30’’
Diffusion des polars de Fabrice Paulus
20’46’’
« Nous avons de grandes pointures. »

Les salons du livre ardennais n’attireraient plus les lecteurs, les rencontres littéraires non plus, que faire alors pour faire revenir les lecteurs ardennais au livre ardennais ? Faut-il réinventer la promotion des livres de nos auteurs ? Les auteurs doivent-ils désormais se trouver sur tous les médias sociaux ? Comment redonner goût de la lecture des romans ardennais aux lecteurs du département ?
Répondez à ces questions, laissez-moi un commentaire, aidez-nous à promouvoir les lettres ardennaises…

Retrouvez les chroniques consacrées aux trois romans policiers de Fabrice Paulus sur le blog du Bout d’Bois en cliquant sur les liens ci-dessous.

Le Festival, de Fabrice Paulus, marionnettiste

La ferme isolée, du commissaire (Fabrice) Paulus

L’Énigme du Père Paulus-Lachaise, la couleur amère des lettres