35. Peut-être ! – Et maintenant, Antoine, qu’est-ce qu’on fait ? On l’arrête ? – Qui ? – Et bin, le Roger Crolle-Cuvilleux ! Toute cette embrouille, ce n’est pas très clair, non ? Je ne répondis pas à Amédé. Encore un qui aime l’action…. Continue Reading →
34. Les contes de l’apéro Ce coup de fil avec l’autre brigade m’avait ragaillardi. J’avais envie de boucler cette enquête rapidement et j’avais bon espoir de rentrer chez moi ce soir pas trop tard. J’allai gaiement dans la chambre… Continue Reading →
33. Les mots fantôme, revenant, ou encore spectre À mon retour à l’auberge, Amédé Madédée se tenait derrière le bar, près du téléphone, un vieux truc en bakélite, en train de feuilleter un annuaire. Le téléphone, c’est le péché… Continue Reading →
32. J’en ferais bien mon fumier Je quittai la bouquinerie en me disant qu’il m’y faudrait revenir en civil. Je pris le chemin de la place du village avec l’intention d’aller voir l’attraction touristique de Bayencourt : les quatre crottes… Continue Reading →
31. Le fond Pirolet Un chat se mit à miauler. C’était pour le libraire le signal d’une visite. Jean Pirolet, la soixantaine, sortit de sa cuisine où il équeutait des haricots verts, pour accueillir le client. Quand il vit… Continue Reading →
Pour celles et ceux qui ne peuvent pas attendre chaque semaine la nouvelle livraison du feuilleton de votre polardenne « Pêle-mêle à Bayencourt », et pour qui la version en livre numérique (ebook) n’est pas (encore) une option… Voici dès à… Continue Reading →
30. Rue du Lavoir Querton parti, mes deux gendarmes revenaient de leur sieste au premier étage. Je redistribuai les rôles. – Amédé, cet après-midi tu t’occuperas de la salle. Et toi Hugo tu te chargeras de la cuisine. Que… Continue Reading →
29. Si vous voyez ce que je veux dire. Le boulanger était à peine parti que ce fut au tour d’un autre villageois de frapper à la porte. C’était un homme pas encore vieux, entre quarante-cinq et cinquante ans,… Continue Reading →
28. Je préfère le foot à la télé. L’après-midi allait tranquillement commencer, pour certains dans la dormance de la digestion, pour d’autres par quelques tâches pas trop compliquées. Comme celle de consulter les registres des chambres que j’avais demandés… Continue Reading →
27. Une finesse incroyable et inattendue La suite du repas ne fut aucunement décevante. Les quatre Étoiles qui nommaient l’auberge auraient pu, d’après moi, qualifier la cuisine de Victorine Grumillon. Le boudin blanc de Rethel chemisé de jambon d’Ardenne,… Continue Reading →
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